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Infos   La fièvre et les fruits 

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Faut-il "couper" la fièvre si elle dépasse une certaine limite - et quelle est la limite ?

Est-il bon, pendant la fièvre de prendre en abondance de l'eau et des jus de fruits ?

Dans la majorité des publications, nous lisons en effet qu'il faut éviter de laisser la fièvre dépasser 40 ou 41°, température au-delà de laquelle le cerveau pourrait se trouver altéré.

On utilise donc l'eau froide ou chaude, les médicaments de synthèse, des médicaments "naturels" pour "contrôler" la fièvre. Par ailleurs, l'habitude a été prise de prescrire les jus de fruits en abondance, "riches en vitamines C anti-infectieuse".

Faisons le point, une fois de plus, sur ces pratiques néfastes.

  1. Faut-il contrôler la fièvre ?

Si, dès le début des troubles, le jeûne hydrique a été instauré, avec repos au lit dans un endroit convenable pour la température, la qualité de l'air, le calme et la confiance, l'organisme contrôle la fièvre spontanément et efficacement. ce que nous pouvons appeler l'intelligence cellulaire (ou l'intelligence du corps, ou la capacité d'homéostasie, ou la force médicatrice naturelle) se met en oeuvre sans que nous ayons à intervenir dans ce mécanisme. L'essentiel est alors la confiance, la détente, le "lâcher-prise".

Il faut toutefois compter avec quelques problèmes qui dépendent d'interventions antérieures. Lorsque le patient a été récemment traité par médicaments ou s'il a été récemment vacciné, les processus organiques peuvent se trouver déréglés. Le "thermostat de l'hypothalamus", par exemple, peut ne plus jouer correctement son rôle.

La responsabilité des détériorations n'est pas alors à imputer à la fièvre.

D'autre part, lorsque le patient a été longuement empoisonné par des toxiques dits alimentaires ou autres (tabac, poisons de l'environnement), les conséquences peuvent en être graves et parfois mêmes fatales. Une partie de ces toxiques a été stockée dans les graisses de l'organisme mais ils sont libérés lors de l'amaigrissement au niveau des organes. Par ailleurs, des dégâts peuvent se produire dans les systèmes nerveux et hormonal, ce qui causera parfois de sévères troubles organiques et psychologiques dus au poison ainsi libéré au cours du jeûne.

La fièvre reste normalement "adaptée" à sa finalité, dans son intensité et sa durée, si les soins d'hygiène vitale sont corrects. Nous n'avons pas à intervenir sur la température du patient. Le corps "sait" mieux que notre intelligence ce qui doit être réalisé pour la survie de l'organisme, puis de son rétablissement.

Celui qui s'est drogué et empoisonné ne doit plus compter sur la normalité des actions organiques.

    2.  Faut-il prendre des jus de fruits pendant la fièvre

Chacun peut constater que la prise de jus de fruits acides pendant les crises aiguës (biogonies dynamiques avec fièvre) a pour conséquences une plus longue durée des troubles, un affaissement de la vitalité, une déminéralisation, une convalescence traînante accompagnée de malaises digestifs ou autres.

En temps de fièvre, les acides des fruits sont difficilement métabolisés. Les réserves minérales, qui devraient intervenir dans l'action organique d'auto-rétablissement, sont mobilisées pour neutraliser les acides. Dans certains cas, une telle pratique conduit à des rechutes et des complications, avec acétonémie, vomissements douloureux, malaise général et rétablissement traînant ou difficile. Des convulsions peuvent même survenir.

Les jus de fruits acides sont déconseillés au cours de la fièvre et des crises aiguës. Pas de citron, d'orange, de pamplemousse, de kiwi, etc., pourtant riches en vitamine C "anti-infectieuse". Pas de jus de pomme, de raisin, de cassis, de myrtille, de groseille, etc. Rien que de l'eau seule, ou, pour prévenir ou réduire l'acétonémie, un peu de sève de canne à sucre ou mieux, de miel doux. Un peu plus tard, on y adjoindra le classique "bouillon d'herbes" très légèrement salé au sel marin complet et/ou un peu de jus de carotte ou de betterave rouge.

Dans certains cas, le chlorure de magnésium pourra être administré à des doses à déterminer suivant la situation et le patient.

Donc : pour les petits et les grands, pas de fruits ni de jus de fruits acides pendant les périodes fébriles, qui sont une des caractéristiques essentielles de la crise aiguë (ou biogonie dynamique).

Extrait de la revue Vie et Action n° 196

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