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Le Portail de la Santé au Naturel
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Quand les Superflus ont chaud aux fesses …
Il y a de temps en temps des plaisirs subtils ...
Vous vous souvenez que, comme beaucoup d’irréductibles thérapeutes qui résistent envers et contre tout à l’invasion chimique, j'ai été mis en cause et épinglé publiquement dans une liste de "dérives thérapeutiques" assimilées à des activités sectaires. Par qui ? Par la Miviludes, composée de Superflus investis de missions officielles qui s’octroient le droit de commettre à répétition un délit de diffamation publique. Alors même qu’ils sont censés, de par leurs fonctions, faire respecter la Loi. Toute la Loi. Y compris celle portant sur le respect des personnes et la diffamation.
Les responsables de cette honorable institution, ci-dessus nommés les Superflus, parrainée par les Premiers Ministres successifs de ce qu’il faut bien encore appeler une République, admettent avec une morgue et un culot qui me laissent pantois qu’ils ne se sentent pas tenus de vérifier leurs sources. Alors si vous avez dans vos bagages quelqu’un que vous n’aimez pas et à qui vous voulez nuire, un confrère par exemple, vous n’avez qu’à le dénoncer, anonymement bien sûr - on n’est jamais trop prudent -, et il sera épinglé sans vérification ni enquête. S’il a les coronaires sensibles, il en crèvera. Bien fait !
Et le pire, c’est que personne n’a osé les attaquer. Jusqu’à présent, leurs victimes, noyées dans l’émotionnel ou carrément collées au gnouf comme au temps de Louis XIV, les laissaient faire fructifier cet adorable fond de commerce qui justifiait leurs émoluments. Financés par nos impôts, bien sûr. Pour ma part j’ai déposé une plainte pénale pour diffamation publique. N’en ayant aucune nouvelle jusqu’à présent, je me suis dit qu’elle passait sans doute aux profits et pertes. Et que, l’immunité parlementaire permettant impunément toutes les outrances, ils continueraient de sévir selon leurs princières fantaisies.
Eh bien, non ! Les Superflus ne sont pas intouchables.
Lisez donc la nouvelle qui a redonné des couleurs aux brouillards d'automne dans le Médoc :
Octobre 2007
GĂ©rard Ducrey
Avocat à la cour Ancien chargé de cours à la Sorbonne Toque D 1499 129 Av du Général Leclerc 75014 Paris Tél : 01 45 41 39 59 Télécopie : 01 45 43 11 33 Communiqué de presse
"Le président de la Miviludes mis en examen" Le président de la Miviludes, le Préfet Jean-Michel Roulet, a été mis en examen le jeudi 11 octobre 2007 par Mme Michèle GANASCIA, Vice-Présidente Instruction au TGI de Paris, pour diffamation publique. L’origine est la diffusion d’un reportage avec interviews – dont celle du président de la mission rattachée au Premier ministre – au journal de 13h de TF1 et les commentaires de Jean-Pierre PERNAUT. Ce journaliste ainsi que Patrick le LAY et d’autres intervenants viennent également d’être mis en examen. La Société Française pour la défense de la Tradition, Famille, Propriété – TFP -, association de laïcs catholique sans but lucratif, avait mise en cause pour sa diffusion gratuite, dans de nombreux foyers, de la Médaille de la Vierge Marie dite « Médaille Miraculeuse » frappée selon les préconisations de Sainte Catherine LABOURÉ.
Je suis ravi de voir que pour une fois (j'ai failli écrire "pour une foi") mes chers curés et moi sommes du même bord !
Que le ciel, à jamais, dans sa toute bonté, C’est promis, je ne boufferai plus de curé. Je me repens. Par contre, je vais bouffer du Superflu. C’est une promesse.
Je vous avais bien dit à tous que ce ramassis de paranoïaques de la Miviludes finirait par se planter, ne connaissant plus de limites et se croyant inattaquable. L’impunité semble provoquer l’énurésie : on ne se sent plus pisser et un jour ça déborde ….
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